Le mal réside en mon cœur.
Elle dit :
Le mal réside ici, indiquant son cœur,
le bruissement des feuilles, m’excite,
et tous mes désirs, se trouvent alités.
Mes pieds refusent de me porter à ta demeure
et quand tombent la pluie,
ils sculptent dans mon regard, ton visage sans traits.
Je mène un combat et je me sens, vaincue à l’avance,
nul, ne peut arrêter le temps.
ni les événements courants,
ni ce présent à la conscience, sauvage.
Je vole comme une hirondelle,
Vers le sommet de l’arbre,
de nos souvenirs, où une hirondelle, en pleurs.
La nuit bouscule les étoiles,
où internés mes rêves d’hier,
une larme sur leurs joues,
de mes cils, je tisse des ailes, volantes.
ma douleur brille en l’air,
un enfant passe, que je reconnais,
Il a tellement vieilli.
Notre chanson d’amour, sommeille,
dans les draps de soie, du temps
et mon rêve assoiffé, figé au seuil de tes lèvres.
les vagues sur ma rive déserte, étouffent ma passion,
par un nuage noir, en deuil.
Elle soupir,
murmure dans une plainte
demain, il fera peut être, beau
La nuit regagnera son dôme, toute majestueuse,
Le soleil sera haut, rayonnant dans le ciel,
tu retrouveras, ta force et ton chemin sera lumière,
tu te remettras debout de nouveau,
tu feras d’autres voyages de noces
et dans la demeure de l’amour Roi,
ton corps, sera sans bleus.
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